- parce que tous les acteurs travaillant dans le domaine cherchent à entreprendre des programmes qui ont un impact positif ;
- parce que les gouvernements et les organismes de financement nationaux et internationaux cherchent à prendre des décisions éclairées sur les priorités en matière de dépenses et ;
- parce que tous les acteurs concernés doivent être conscients des risques potentiels liés à des mesures susceptibles de faire plus de mal que de bien aux apprenants, au système éducatif et aux communautés touchées par l’extrémisme violent.
- quels types d’activités de PEV-E paraissent plus efficaces ?
- quel est l’impact prouvé des activités de PEV-E ?
À cette fin, l’UNESCO a commandé une étude comparative de 32 études de cas de PEV-E, représentant une sélection d’activités, impliquant différents groupes d’âges, couvrant l’éducation formelle, informelle et non formelle à travers le monde. Cette étude a certaines limites en termes de champ d’application, de typologies d’activités et de disponibilité des données de suivi et d’évaluation. Il s’agit donc d’interpréter les résultats comme des considérations préliminaires qui permettent de débroussailler le terrain. Toutefois, l’analyse montre que les interventions de PEV-E fonctionnent, avec des impacts perceptibles à différents niveaux, en fonction des types d’activités spécifiques. Lire la suite
Source : UNESCO